PAUVRETÉS, PRÉCARITÉS ET ACTIONS SOLIDAIRES,
VERS UNE INNOVATION SOCIALE
Éclairage suivi d'un débat ...
par Bernard Floris,
enseignant chercheur Université de Grenoble,
co-auteur de “La vie marchandise” avec Marin Ledun
Jeudi 15 Mai 2014 > 20 h
à Graines de Rencontres (place des Masseguisses) - Les Vans
Les 15 février et 22 mars, deux soupes populaires étaient distribuées dans l'objectif d'ouvrir sur le territoire du Pays des Vans en Cévennes un centre de distribution alimentaire. Dans leur prolongement, le Collectif “Soupe populaire” vous invite à participer à un éclairage autour des questions de pauvretés et précarités.
Selon les statistiques officielles, largement sous-estimées, 5 millions de personnes vivent sous le “seuil de pauvreté” (entre 840 et et 980 €). Mais c’est sans compter les autres millions qui vivent avec des statuts précaires et qui sont à peine moins pauvres. Les différents programmes sociaux existants leur permettent tout juste de “garder la tête au-dessus de l’eau”, alors que beaucoup n’en bénéficient pas.
Entre les accidents de la vie (chômage, surendettement, séparations, etc.), la détresse des “assistés sociaux” ou la malfaisance d’un système profondément inégalitaire, comment comprendre une société où peu de riches sont toujours plus riches et d’innombrables pauvres sont toujours plus pauvres ? Au-delà des aides gouvernementales et des initiatives bénévoles, n’y a-t-il pas d’autres formes de solidarité, notamment avec la participation active des personnes concernées ?
Bernard Floris
Selon les statistiques officielles, largement sous-estimées, 5 millions de personnes vivent sous le “seuil de pauvreté” (entre 840 et et 980 €). Mais c’est sans compter les autres millions qui vivent avec des statuts précaires et qui sont à peine moins pauvres. Les différents programmes sociaux existants leur permettent tout juste de “garder la tête au-dessus de l’eau”, alors que beaucoup n’en bénéficient pas.
Entre les accidents de la vie (chômage, surendettement, séparations, etc.), la détresse des “assistés sociaux” ou la malfaisance d’un système profondément inégalitaire, comment comprendre une société où peu de riches sont toujours plus riches et d’innombrables pauvres sont toujours plus pauvres ? Au-delà des aides gouvernementales et des initiatives bénévoles, n’y a-t-il pas d’autres formes de solidarité, notamment avec la participation active des personnes concernées ?
Bernard Floris