Réservation fortement conseillé : ici Entrées : Plein tarif : 12 €
Tarif réduit (adhérent, demandeur d'emploi,
RSA, minimum vieillesse, etc.) : 10 €
Étudiant : 8 €
Adolescent & enfant : 6 €
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ON N'EST PAS NÉ POUR PERDRE offre au public un aspect de l’art riche et varié de Louis Arti.
La poésie et les textes y tiennent une large place, avec l’humour pour balise. Les chansons sont toutes écrites par Louis Arti, à l'exception de "Rencontres", poème de Jean-Louis Kavcic.
La musique est mise en valeur par la voix particulière de Louis Arti et par le jeu de guitare et de Michel Gaudioso, qui a composé les musiques de "Femme Femmes" et "C’est quoi comme groove ça". Ce dernier, par des arrangements riches, donne au concert sa force lyrique et son groove particulier.
L’improvisation est, également, présente quand Michel et Louis prennent des soli.
Quant aux compositions musicales des chansons de Louis Arti, on peut dire qu’il est l’un des premiers de sa génération d’auteurs compositeurs, en France, à avoir travaillé - dès les années 70 -, sur différentes formes rythmiques et harmoniques - influencé autant par la musique européenne que par les musiques anglo-américaines, cubaines et africaines.
Ce concert rend hommage - comme le veut le style « artien » depuis toujours -, à des personnes, des lieux, des évènements que nous connaissons ; ou dont nous avons entendu parler.
Quand la presse en parle ...
• Télérama - Anne-Marie Paquotte >
Chant puissant, nourri d’une vie violente et voyageuse. (…) Ce flot de rage et de vie est si puissant qu’il nous emporte. Une musique pétrie de jazz, de blues, de rock, de flamenco, de hip-hop … Salubre coup de chien.
• Chorus - Yannick Delneste >
Sur scène jaillit un cri qui vient de l’intérieur, un cri de douleur et d’amour, comme une déchirure dans le quotidien, reflets de nos illusions décues. L’homme qui est là, le cœur à nu, entrouvre une fenêtre de liberté au dedans de nous mêmes.
• Le Républicain Lorrain - André Greiner >
Avec sa langue rude, éclatante, n’esquivant aucune difficulté, ne gommant pas certains mots, qui appelle encore un chien un chien, le chanteur a inventé l’Espérento des fauchés, le patois des gens sincères … Et puis, il faut absolument le voir ou le revoir sur scène : déranger, égratigner, bousculer et bouleverser l’ordre établi (…).
• Le Monde - Patrick Labesse >
Louis Arti n’a pas la mémoire qui flanche. Il l’explore avec gourmandise, la dissèque, l’analyse. Il y pioche des souvenirs, les enfile dans un ordre logique, sans zig-zags. Il en fait des chansons et des textes à raconter, des tranches de vie et autant d’envies, de révélations, de poésie du quotidien, de parenthèses indispensables. La mémoire est un champs fertile. Il suffit de savoir la cultiver. Louis Arti sait, il en fait même des spectacles.
• Fred Hidalgo - Journaliste, historien de la chanson >
Vous ne le connaissez pas ? Normal et dommage à la fois, c’est une sorte d’ovni de la chanson francophone, de bluesman tendance Colette Magny, de poète façon Léo Ferré, de bel humain à la Leny Escudero - pour faire court ! -, dont l’aspect inclassable l’a rendu invisible et inaudible des médias. Avec une voix qui vous prend aux tripes et une voie qui l'a amené à vivre des événements très forts avant de se consacrer à la chanson, à la littérature, à la peinture et au théâtre …
Chant puissant, nourri d’une vie violente et voyageuse. (…) Ce flot de rage et de vie est si puissant qu’il nous emporte. Une musique pétrie de jazz, de blues, de rock, de flamenco, de hip-hop … Salubre coup de chien.
• Chorus - Yannick Delneste >
Sur scène jaillit un cri qui vient de l’intérieur, un cri de douleur et d’amour, comme une déchirure dans le quotidien, reflets de nos illusions décues. L’homme qui est là, le cœur à nu, entrouvre une fenêtre de liberté au dedans de nous mêmes.
• Le Républicain Lorrain - André Greiner >
Avec sa langue rude, éclatante, n’esquivant aucune difficulté, ne gommant pas certains mots, qui appelle encore un chien un chien, le chanteur a inventé l’Espérento des fauchés, le patois des gens sincères … Et puis, il faut absolument le voir ou le revoir sur scène : déranger, égratigner, bousculer et bouleverser l’ordre établi (…).
• Le Monde - Patrick Labesse >
Louis Arti n’a pas la mémoire qui flanche. Il l’explore avec gourmandise, la dissèque, l’analyse. Il y pioche des souvenirs, les enfile dans un ordre logique, sans zig-zags. Il en fait des chansons et des textes à raconter, des tranches de vie et autant d’envies, de révélations, de poésie du quotidien, de parenthèses indispensables. La mémoire est un champs fertile. Il suffit de savoir la cultiver. Louis Arti sait, il en fait même des spectacles.
• Fred Hidalgo - Journaliste, historien de la chanson >
Vous ne le connaissez pas ? Normal et dommage à la fois, c’est une sorte d’ovni de la chanson francophone, de bluesman tendance Colette Magny, de poète façon Léo Ferré, de bel humain à la Leny Escudero - pour faire court ! -, dont l’aspect inclassable l’a rendu invisible et inaudible des médias. Avec une voix qui vous prend aux tripes et une voie qui l'a amené à vivre des événements très forts avant de se consacrer à la chanson, à la littérature, à la peinture et au théâtre …
Louis Arti
Louis Arti naît en 1944. De la guerre d'Algérie aux mines de Lorraine … Puis l’Allemagne, l’Angleterre, la Tunisie … à travers une existence parcourant le travail à l'usine, les chantiers. Passant par les bals populaires, les stations de métro, Louis Arti compose ses chansons, ainsi que les brouillons de textes et de nouvelles qu'il retravaillera plus tard. Il débute au cabaret à Munich, au « Song Parnass », puis à Metz « Aux Trinitaires ». Il passe des petites salles jusqu’à l’Olympia. Il enregistre plusieurs albums, dont trois pour la firme CBS-EPIC. Son répertoire, plus de deux cents chants et poèmes choisis (paroles et musiques), s'inspirent de son vécu : « Notre culture sera le souvenir de notre vie ». Il chante également les poètes, qu’il a aussi mis en musique. Auteur, il édite plusieurs livres, dont El Halia, monté au théâtre par Jean-Louis Hourdin et Tête de pluie, mis en scène par François Chattot. Belle vie en noir et Les yeux blessés de Marie Jeanne, sont ses derniers romans. Il dirige, depuis vingt ans, des ateliers d’écriture de chansons, théâtre et littérature dans les établissements scolaires et universitaires, dans les quartiers et en milieu spécialisé ou carcéral. Il compose de la musique de chambre : quatuor à cordes, sonate, trio et un chœur pour chorale. Il peint et expose depuis une trentaine d’années.